D’après les spécialistes en ésotérisme, certains monuments de la préhistoire étaient des constructions sacrées destinées à rassembler des significations que ne pouvaient comprendre certains initiés (les prêtres), et leur réalisation était le fruit de connaissances extraordinaires, souvent extrêmement ancienne et transmises à quelques adeptes. On peut repérer la clé utilisée par les ésotériques dans chacune de ces structures sous forme d’éléments récurrents, pouvant être mis en corrélation avec une vision symbolique menant à une interprétation ésotérique. Cette hypothèse se heurte aux thèses rationalistes : d’après eux, il est impossible de prétendre trouver une trace commune dans des réalisations qui, le plus souvent, ont eu des historiques très différents.
Il existe donc deux « écoles de pensée » :
- la première, plus positiviste, nie en général toute évaluation symbolique, tendant à ramener les expressions culturelles sur un plan matérialiste ;
- la seconde cherche, en revanche, dans l’ésotérisme les réponses que la science a souvent du mal à donner.
Comme toujours, la vérité est sans doute à mi-chemin.
Parcourons quelques unes des antiques constructions ayant donné lieu à une interprétation ésotérique.
Tiré de « Le symbolisme ésotérique » écrit par M. Centini aux éditions De Vecchi.