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 ROME ET L’EMPIRE

Dans les temps reculés de l'histoire romaine, l'art divinatoire était varié:

La fin de la république et la naissance de l’empire, en 31, changent la donne : les recueils de prophéties sont brûlés, les livres sibyllins expurgés, des astrologues et des « magiciens » (les devins non autorisés) sont mis à mort, les consultations à huis clos sont interdites, de même que les prédictions relatives au décès. Avec les premiers empereurs chrétiens, la proscription de la divination, comme de tous les rituels païens, se fait définitive.

"Vetus autem illud Catonis admodum scitum est, quid mirari se aiebat, quod non rideret haruspex, haruspicem cum vidisset." (Cicéron, De divinatione, II, 51) "On connait bien ce bon mot, déjà ancien, de Canton: il disait s'étonner qu'un haruspice pût regarder un autre haruspice sans rire."

Mais comme la république avait besoin de la lumière des haruspices, ils furent tolérés et même auprès de grandes familles (César, Pompée). Par ailleurs, la population appréciait les arts divinatoires:  des devins « clandestins » ont continué à exercer leur art, voire de rédiger des recueils de prédictions très prisés .

    Les arts divinatoires à travers les âges et en différents lieux

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Tiré du livre : "Les arts divinatoires" écrit par Djénane Kareh Tager.