Cette pierre fait partie des plagioclases qui sont des cristaux le plus souvent tubulaires ; on y observe des lamelles, à la manière des feuilles d’un livre ; ces lamelles sont souvent si minces qu’elles ne peuvent être observées qu’à la loupe, sous forme de cannelures ou de stries visibles surtout sur les clivages. Incolore, blanc ou gris, rarement verdâtre ou rougeâtre ; jeux de couleurs (labradorescence) produit par des exsolutions, surtout dans la labradorite ou l’andésine ; éclat vitreux, nacré sur les clivages ; généralement translucide.
La labradorite contient entre 50 et 70% d’anorthite. Elle fut trouvée au Labrador en 1770 sur l’île Saint-Paul.
Vertus : elle sera utile aux personnes fatiguées et aux thérapeutes. Une des principales vertus de la labradorite est de reconstruire la coque aurique. Pour les thérapeutes, elle évite de se faire vampiriser au contact des personnes malades, car elle renforce le corps éthérique. Sur le plan physique, la labradorite stimule le système digestif.
Tiré du livre, Le grand livre de la magie des pierres, écrit par Serge Da Ros, aux éditions Trajectoire(2000).