Le mot « Jade » rappelle le pouvoir prêté à cette pierre de soigner les coliques néphrétiques, d’où le nom de « pierre de flanc » donné à ces pierres importées de Chine par les portugais (pedra de ilharga), d’Amérique centrale par les Espagnols (piedra de hijada). L’un et l’autre termes devient « ejade » puis « jade » en français ; en 1863, Damour démontre que le jade chinois est une amphibole, laquelle fut nommée du nom savant « néphrite » (du grec rein) et que le jade nord-américain, alors moins apprécié, est un pyroxène, lequel fut nommé du nom vulgaire (c'est-à-dire commun) « jadéite ». Pierre des cinq vertus vertus cardinales, il se fait porteur de l’amour du prochain; de la modestie ; du courage; de la justice ; et de la sagesse. Très attaché au Taoïsme, on peut considérer le jade comme la pierre du juste milieu et de l’immortalité, tant ses vertus physiques et spirituelles recèlent de richesses.
Interprétation en divination : la jade dénote un besoin d’autonomie ; une invitation à faire confiance à son intuition, à entreprendre seul ce qui tient à cœur sachant que les capacités de réalisations sont suffisantes. Pour cela, il suffit d'appliquer les cinq vertus du jade, qui mèneront à la réussite. Il indique une personne charismatique ou qui recherche la renommée.
Tiré du livre, Le grand livre de la magie des pierres, écrit par Serge Da Ros, aux éditions Trajectoire(2000).